Kyûka Heiwa, jeune noble de Drigo.

Kyûka Heiwa

« Si le mal existe en ce monde, il est dans le cœur de l’humanité. »

Caractère

Presque toujours de bonne humeur et toujours prêt à s’amuser. D’un caractère doux et gentil, toujours prêt à aider les gens dans le besoin, bien qu’il ait tendance à être maladroit. Il peut néanmoins être sérieux quand il le faut, surtout lorsqu’il doit se comporter en noble ou lorsqu’il doit se battre contre quelqu’un de fort. Il aime sortir jouer avec les autres enfants de la zone agricole, les gâteaux et autres sucreries et en parlant de ça, il adore cuisiner. Il aime aussi les animaux et les balades dans la nature. Par contre il déteste la paperasse, les factures, les lettres super importantes de Mr.Truc, les bals chez machin et … bref un vrai ennui. Pourtant très intelligent, il est doué dans plusieurs domaine notamment l’art de l’épée, qu’il pratiquait dès son plus jeune âge avec son père.

Physique

Haut de 1m70 pour 60 kg, d’une silhouette fine et plutôt efféminée, on le prend souvent pour un enfant. Ce qui ne le dérange pas vraiment à vrai dire ~ Malgré son apparence, il vaut mieux ne pas sous-estimer sa force lorsqu’il est sérieux. En plus de sa force, il est aussi assez rapide et agile. Au niveau du visage, il a de magnifique yeux bleu et une chevelure blonde assez longue qu’il aime attacher en une mini queue de cheval. Enfin, au niveau de la tenue il aime les vêtements ample et décontracté pour ses escapades en dehors du manoir. Mais aime aussi les tenues classes de hautes coutures. Un peu de tout en gros, tout dépend de la situation. Pour finir, il porte un anneau magique a l’annulaire gauche qu’il ne quitte presque jamais et qui lui sert à faire apparaître son épée qui doit mesurer dans les 1m30 le tout avec de jolies couleurs rouge/orangé.

Histoire

Le 21 Octobre 3981 à Drigo, Elena Heiwa, épouse du noble Victor Heiwa donna naissance à deux jumeaux, une fille qu’ils nommèrent Yuna et un garçon qui reçut comme prénom : Kyûka. Les deux enfants, passèrent leur enfance ensemble, dans une famille aimante et pleine de joie et de richesse, ils ne manquaient de rien. Plus grand, elle commença à faire des études, elle voulait être médecin quand elle serait grande et lui suivait l’éducation de son père pour hériter un jour des biens de la famille, tout ce qu’un noble doit connaître et savoir faire. Il adorait les combats à l’épée, et rêver d’avoir un jour l’honneur de manier l’épée de la famille, Krasalvaka, transmise de génération en génération. Lorsqu’il avait fini ces cours et ces entrainements quotidiens, il allait retrouver Maria à la cuisine, elle s’occupait de la cuisine et de l’entretien du manoir, et lui apprenait plein de recettes. Mais ce qu’il aimait plus que tout c’était les retrouvailles le soir avec sa sœur, lorsqu’ils se racontaient leur journée et rêver du futur ainsi que les balades en famille le dimanche. Ils étaient toujours ensemble. Il arrivait à sentir ce que ressentait sa sœur et elle le pouvait aussi. Un lien fort de fraternité était né.

Toujours. Jusqu’à ce jour maudit.

Il devait avoir environ quatorze ans quand l’accident se produisit. En une belle journée d’été, ces parents et sa sœur étaient sortis faire des achats dans la zone marchande d’Elvadia. Lui était resté au manoir avec le Majordome Edward et sa femme Maria. Avec l’aide de cette dernière, il s’était atteler à la tâche de préparer le repas. Soudain, le jeune garçon ressentit une vive douleur dans son corps, sa sœur était en danger, il le sentait. Puis la douleur, repartit comme elle était venue. Il ne sentait plus rien. Le lien qui les unissait venait d’être brisé. Les heures s’écoulèrent … puis les jours … ils n’étaient toujours pas rentrer. Au bout de trois jours de recherches et d’inquiétude, on sonna à l’entrée du manoir. Il se précipita pour ouvrir, et se retrouva face à un homme entre deux âges, porteur d’un triste message. Ils avaient retrouvés les trois disparus … morts.
Leur wagon avait soudainement explosé, et aucun des trois n’avait survécu. Après enquête, il s’avéra que l’accident n’avait rien d’un accident mais d’un attentat. Qui pouvait bien en vouloir à ses parents ? Qui lui avait retiré ce qu’il chérissait le plus ? Qui ?! La douleur et la tristesse laissant place à la colère et à la haine. Il chercha à savoir. Il devait les venger. Leurs faires payés. Mais toutes les recherches furent vaines.

Le temps finit par passer, et la colère s’atténua, avec l’aide du majordome, qui fidèle à la famille était resté avec lui, il avait réussi à garder les propriétés de son père et à récupérer l’anneau, héritage familiale. Il avait décidé d’aller vers l’avant et de prendre la suite de son père. Mais une partie de lui-même était restée dans le passé, refusant la réalité. Noyant la tristesse dans les jeux. Au final, il avait grandi mais gardait son âme d’enfant.
Le jour de ces 18 ans, il obtint finalement officiellement son titre de noble.